Rencontre sioniste
C'est cette année là que Eliezer Ben Yehoudaun lexicographe né dans l'empire Russe, s'installe en Palestine.

Il soutient que le sionisme doit s'accompagner de la pratique de l'hébreu qui est alors une langue écrite, dont l'usage, réservé aux prières et textes rencontre sioniste est néanmoins réapparu en littérature. Dès son séjour à Paris, il prend l'habitude de parler en hébreu aux Juifs qu'il fréquente.

Rencontre sioniste créé les néologismes utiles à la pratique de la langue. Dèsil prône l'usage unique de l'hébreu en Palestine, notamment dans les écoles. A son arrivée enBen Yehouda est désemparé par ce pays qu'il ne connaît pas.

Il décrit ses premiers contacts avec des voyageurs arabes: Je dois avouer que cette première rencontre avec nos cousins rencontre sioniste peu réjouissante.
Un sentiment déprimant de peur remplit mon âme, comme si je me trouvais devant une muraille menaçante. Je perçus qu'ils se sentaient citoyens de ce pays, terre de mes ancêtres, et moi leur descendant, je revenais à cette terre comme un étranger, fils d'une terre étrangère, d'un peuple étranger.

Je n'avais sur cette terre de mes pères ni droit politique, ni citoyenneté. J'étais ici un étranger, un métèque.

Les citoyens de ce pays, c'était eux, ceux qui y habitaient. Akadem 2 Cité par Vincent Lemire in Jérusalemp.
